7ème semaine du 15 au 19 octobre 2013

10 CONSEILS (PRATIQUES)

qui font ou feront  la différence à l’approche de votre objectif

 

Après plusieurs semaines d’un entraînement intense et sérieux, vous entrez aujourd’hui dans la dernière ligne droite de votre préparation. Une préparation finale que vous devez évidemment soigner, en évitant donc de commettre certaines erreurs.

 

N’en faites pas trop les derniers jours, ça ne sert plus à rien, sauf à vous blesser peut-être…

 

ERREUR N° 1 : Être rigide

Les deux ou trois dernières semaines avant une compétition sont qualifiées par certaines de semaines-type, lesquelles impliqueraient la réalisation de séances spécifiques et le strict respect d’un programme nutritionnel. Ces conseils sont utiles…pour les livres car la réalité est tout autre

 

 : la préparation doit constamment s’adapter au contexte et il n’existe donc clairement pas un entrainement idéal, au cours duquel il faudrait réaliser telle ou telle séance pour performer quelques jours plus tard

 

. Ce sont la fatigue et la forme, ainsi que les contraintes professionnelles et familiales qui déterminent la préparation des ultimes jours.

 

Le programme doit être quotidiennement adapté par rapport à celui prévu.

 

ERREUR N° 2 : Trop en faire

Les derniers jours de préparation s’inscrivent généralement dans une période de récupération, son objectif étant la résorption de la fatigue et l’amélioration de la condition physique.

 

 Par conséquent, ne craignez pas de fortement alléger la charge de votre entraînement les derniers jours avant une compétition.

 

Vous ne perdez pas de votre forme, au contraire, votre organisme en profitera pour progresser.

 

ERREUR N° 3 : Arriver fatigué sur la ligne de départ

 

Vous vous êtes durement préparé des semaines durant et malheureusement, à quelques semaines de votre objectif, vous vous êtes blessé ou vous n’avez pas pu respecter le programme prévu

 

. Vous vous posez donc logiquement la question de l’intérêt ou non de compenser ce manque d’entraînement en vous entrainant plus durement.

 

 Bonne ou mauvaise idée de vouloir rattraper le temps perdu ? Pourquoi pas ! Par contre, ne vous mettez pas en tête de vouloir rattraper les séances non réalisées et veuillez à ne pas trop en faire.

 

Sur la ligne de départ, vous devez vous présenter avec un faible niveau de fatigue.

 Votre organisme doit être frais et reposé.

 Les futures contraintes (les chocs de la foulée contre le sol, l’augmentation de la température corporelle, la forte demande énergétique, l’attaque radicalaires, etc.) l’exigent.

 

ERREUR N° 4 : Ne pas tenir compte de la météo

 

S’il pleut ou s’il neige et qu’il fait froid les derniers jours avant votre objectif, vous ne devez pas hésiter à modifier le programme que vous aviez prévu.

 

Cette période étant généralement consacrée à la récupération, il convient d’éviter toutes les contraintes pouvant fragiliser de manière excessive votre organisme.

 En fin de préparation, après de longues et intenses semaines d’entraînement, votre organisme est fragile. Une situation qui d’ordinaire serait considérée comme banale le perturberait alors profondément en le faisant pencher du mauvais côté.

 

 Dans ce contexte d’intense fragilité immunitaire, n’hésitez pas à alleger des séances.

 

 

ERREUR N° 5 : Changer vos habitudes

 

Si vous n’êtes pas familier des plats épicés, évitez d’en consommer les derniers jours avant une compétition.

 

Ce sont en fait tous les aliments qui vous sont inhabituels que vous devez éviter et ce, pour éviter tous problèmes digestifs et/ou intolérances/allergies alimentaires.

 

ERREUR N° 6 : Oublier de boire

 

Connaissez-vous le principe de « préhydratation » ? Comme son nom l’indique, il consiste à boire de l’eau avant l’objectif préparé, de manière à optimiser vos réserves hydriques.

 

N’oubliez pas que la déshydratation limite votre potentiel et peut provoquer des problèmes en cours de marathon.

 

ERREUR N° 7 : Vous gaver de pâtes

 

Les deux ou trois derniers jours avant une compétition, vous êtes nombreux à ingérer de très grandes quantités de pain et de pâtes.

 

 Vous pensez bien faire car vous avez lu ou entendu qu’il fallait que vous stockiez un maximum de glucose si vous souhaitiez performer.

 Erreur ? Pas tout à fait !

Effectivement, sur la ligne de départ, vous devez avoir des suffisantes de glycogène.

 

Par contre, il est inutile de vous gaver de pâtes et de pain pour saturer vos stocks de glucose !

 

 Une alimentation reposant sur la consommation modérée de fruits (frais et secs) et de tubercules (patates douces ou pommes de terre) ainsi qu’un peu de céréales (riz, orge, avoine, etc.) suffit.

 

 Rappelez-vous que la charge de votre entraînement est faible les derniers jours avant une compétition.

Vous n’allez donc pas mettre à contribution votre glucose musculaire.

 

En mangeant modérément, vous évitez ainsi de générer une fermentation intestinale avec prolifération bactérienne.s’accompagnant de problèmes digestifs (gaz, ballonnements, etc.) et générant un état inflammatoire.

 

ERREUR N° 8 : Vous équiper de neuf  pour le grand jour

 

Chaussez-vous de running auxquels vous êtes habitués et qui ont fait leurs preuves, sinon vous prenez d’entrée le risque de ne pas aller au bout de votre parcours pour cause d’ampoules, douleurs aux pieds ou autre échauffement.

 

Mais les problèmes de pieds ne viennent pas forcément des chaussures. Ils peuvent tout simplement être causés par des chaussettes mal adaptées.

 

 N’utilisez jamais de chaussettes neuves au départ d’un marathon. Préférez votre vieille paire bien élimée aux contours qui ont pris du temps le s’aplatir.

 

 D’ailleurs, dès que vous utilisez des chaussettes pour la première fois, portez-les à l’envers le temps que les coutures, très discrètes sur les modèles bien étudiés, aient le temps de s’user un peu.

 

Attention également à votre laçage. Testez-le la veille

 

En cas de mauvaises sensations, vous serez peut-être amené à accentuer ou relâcher le serrage. Selon leur fabrication des lacets peuvent se détendre un peu à l’usage ou c’est au contraire votre pied qui peut gonfler et vous obliger à réajuster le laçage.

 

Au niveau des vêtements, préférez aussi une tenue qui a fait ses preuves pour ne pas risquer d’échauffements liés à des frottements mal placés.

 

ERREUR N° 10 : Partir la « fleur au fusil »

 

Certains coureurs se présentent sur la ligne de départ en retard, pensant qu’ils mettraient moins de temps pour se rendre sur le lieu de la course. Pour éviter ce stress inutile, préparez votre itinéraire et déterminez l’horaire de départ de votre lieu de résidence et ce, même si l’itinéraire vous est familier.

 

ET BIEN TOUTES CES CHOSES LA ETANT DITES  UN PETIT MOMENT DE DETENTE AVEC UN PETIT CONTRE PIED DU COACH

 

Du sport du fun et un beau maillot vert
Un p’tit fractionne pour valser tant qu'on veut
un entrain’ment c'est ça qui rend heureux
Le diable nous emporte on n'a rien trouvé de mieux
Oh oh oh oh on n'a rien trouvé de mieux

Helo ! p’tit coach fait briller tes galons
Et reste bien au chaud quand on gèle sur l’anneau
Nous c'est notre peine qui nous coule sur le front
Alors tient bien l’sifflet  tu connais la chanson

Du sport du fun et un beau maillot vert
Un p’tit fractionne pour valser tant qu'on veut
un entrain’ment c'est ça qui rend heureux
Le diable nous emporte on n'a rien trouvé de mieux
Oh oh oh oh on n'a rien trouvé de mieux

Ça fait une paye qu'on c’est pas entrainé
Et même une paye qu'on s'fait des p’tites courses en poster
Tant pis pour celle qui s'pointera
la première
J'lui démonte Le parcours , l’chrono , et j’finis derrierre

Du sport du fun et un beau maillot vert
Un p’tit fractionne pour valser tant qu'on veut
un entrain’ment c'est ça qui rend heureux
Le diable nous emporte on n'a rien trouvé de mieux
Oh oh oh oh on n'a rien trouvé de mieux


Tout est gravé quelque part dans mes muscles
Tellement que j'en ai les jambes  galbés y’a rien d’plus beau
Blessure de guerre, contracture, coup d’moins bien
Tant qu'y aura des p’tites courses  on aura des héros

Du sport du fun et un beau maillot vert
Un p’tit fractionne pour valser tant qu'on veut
un entrain’ment c'est ça qui rend heureux
Le diable nous emporte on n'a rien trouvé de mieux
Oh oh oh oh on n'a rien trouvé de mieux

 

Trois mille qui reste  et des fois c'est les glandes
Quand t'as le cœur qui dérape, t'as les jambes  qui débranchent
J'essaie de penser au finish  aux derniers kilomètres
Pas au mollet  qui craque entre deux belles montées

 

Du sport du fun et un beau maillot vert
Un p’tit fractionne pour valser tant qu'on veut
un entrain’ment c'est ça qui rend heureux
L’équipe nous emporte on n'a rien trouvé de mieux
Oh oh oh oh on n'a rien trouvé de mieux

 

mardi 15 octobre 2013

 

COUREURS

 

Les dernières semaines d’entraînements se présentent  devant vous pour renforcer les victoires des semaines passées.

 

 

Ce sont les mêmes entraînements  que vous avez vaincus  et que depuis vous avez constamment poursuivis jusqu’ à ce jour

 


Les positions que nous occupons sont formidables, et pendant que vous doutez de vous, votre coach lui, croit en vous

 

 Coureurs, je dirigerais moi-même tous vos entraînements  ; je me tiendrais près, si, avec votre bravoure accoutumée, vous portez le désordre et la confusion dans les séances de fractionnés

 

 

 mais si la victoire était un moment incertaine, vous verriez votre coach s’exposer aux premiers coups et fractionner et courir jusqu'à l'épuisement pour vous montrer la valeur de votre combat

 

 

car la victoire ne saurait hésiter, dans ces dernières semaines surtout où il y va de l’honneur de l’honneur des maillots verts , qui importe tant à la gloire de toute l’équipe

 

 

Que, sous prétexte d’emmener les blessés, on ne dégarnisse pas l’anneau  et que chacun soit bien pénétré de cette pensée, qu’il faut vaincre ces derniers kilomètres , qui sont animés d’une si grande haine contre nos petites jambes

 

 

 Cette victoire finira notre campagne, et nous pourrons prendre le départ du 10 km du 11 novembre ,

 

et alors la course  que nous ferons  sera digne de cette équipe, de vous et de moi.

chrystelle ne le sait pas encore mais ce soir est un grand soir

joe le coureur
Y va pas partout
Y marche plus qu
au soda
Son maillot vert
Connaît toutes les stades par coeur
Tous les p'tits s
mis
Tous les coins noirs
Et l
anneau
Et son sol  qui brille
Dans ses shoes
Le rythme au coureur
C'est l
endurance
La foulée  qui balance
Joe le coureur
C'est sa vie
Le bel entraîn’ment
beau fractionne
Il est comme ca
Rythme et plaisir
Joe - Joe - Joe
sur l
anneau
La foulée   a Joe résonne
C'est d
lesperance
L
’écouteur dans loreille  a donf
Vas-y court
Vas-y court
Vas-y fonce
Dans la nuit vers le bonheur
Maillot vert
Et un kilomètre
Joe le coureur
Et dix kilomètres
entrain
ment
Joe le coureur
C'est sa vie

Ce soir entrainement à la vas y que je te pousse

 

neanmoins pierre garde le flambeau et avec mourad enchainent les 400 mètres à 10 puis 11 puis 12 km heure

 

maria enfin court sans douleur

 

derrrière, chrystelle se repose : record battu, 800 mètres sans s'arrêter sous les encouragements de nathalie et accompagnée de ses fidèles grognards bruno et yves en tête

je vais courir le 11, je ne vais pas courir

j'ai peur, je n'y arriverais jamais

j'y crois, j'y crois pas

arretez d'inquieter nadia

 

vous en êtes tous capables, il serait dommage de ne pas profiter de la fête

le depart est notre plus grand plaisir

le reste ne compte pas ou si peu

 

qu'est ce que 75 minutes de course ou de marche après les heures passées à s'entrainer

 

ne doutez pas, venez

mercredi 16 octobre 2013

l'hiver arrive, nos coureurs sont de plus en plus couverts mais le soleil reste dans nos coeurs

Je ne veux pas perdre cette sensation

Je meurs chaque fois que j'essaie de reprendre mon souffle
Oh pourquoi ne l’ai-je jamais appris ?
J’ai perdu toute ma confiance,
Bien que maintes fois j’ai   essayé de la retrouver
Mais puis je  encore  supporter  ma peine ?
heureusement  toute mon agonie s’estompe
Lorsque je me mets à courir

Ne m’arrache pas à tout ce dont j’ai besoin
Fais de ma vie  un endroit meilleur
Donne-moi quelque chose en quoi je puisse croire
Ne me brise pas
Maintenant que nous courons ensemble ,

 ne me laisse pas m’ échapper

Je me retrouve de nouveau au bord du gouffre
Je voudrais pouvoir m’en libérer
Je sais que je suis seulement à une étape
De pouvoir faire demi-tour
pourrais je  encore suivre ta foulée  ?
car toute mon agonie s’estompe
Lorsque je pars m’entraîner

Ne m’arrache pas à tout ce dont j’ai besoin
Fais de ma vie un endroit meilleur
Donne-moi quelque chose en quoi je peux croire
Ne me brise pas,

que reste-t-il de moi ?
laisse moi courir pour devenir meilleur

J’ai essayé tant de fois mais rien n’était réel
et chaque fois je replongeais  peu à peu,

ne me detruis pas
Je veux croire que cette fois il ne s’agit pas d’une illusion
Sauve-moi de ma peur
Ne me brise pas

laisse moi courir pour devenir meilleur
Fais de ma vie  un endroit meilleur

Ne m’arrache pas à tout ce dont j’ai besoin
Fais de cette course un instant  meilleur

c’est tout ce dont j’ai besoin

Ouvres  tes yeux,

 donne-moi ta foulée,

 coureur

  Sens-tu mon coeur battre ?

Comprends-tu

  Ressens-tu la même chose ?

 Suis-je seulement en train de rêver ?

  Est-ce une course  éternelle qui commence ?

  Je crois que cette course est pour nous

 Coureur 

   Je te regarde quand tu cours

 Tu es de notre équipe

   Ressens-tu la même chose

 Suis-je seulement en train de rêver ?

   Ou est-ce une course éternelle qui s’achève ?

   Dis mon nom,

 Coureur

 Suis mon pas

 Dessine avec moi ta foulée

  Le soleil brille à travers la pluie

   Une vie entière si seule

   Et  tu es arrivé

 tu as couru avec moi

 et tu as soulagé ma  douleur

   Je ne veux pas perdre cette sensation

   Dis mon nom,

 Coureur

   Le soleil brille aujourd’hui

 je ne suis plus seul

    tu es arrivé

 et nous avons construit cette équipe

et tu as effacé ma souffrance

record du monde de l'accélération fractionnée lancée c'est  "son jose"

 

le coach lui il commence à en avoir marre de ces fractionnés sauvages avec des séries de 400 300 et pleins de mètres à des vitesses frisant l'indécence

samuel, il est d'accord - kamel aussi et puis yannick y fait rien que de regarder sa montre en courant c'est énervant

vendredi 18 octobre 2013

Cette peur qui me déshabille
Pour avoir osé courir sur l’anneau
Et ces crampes  qui me fragilisent
Viennent emporter ma raison sous les flots

Malgré tous
Les regards qui fusillent
Près de nous
La foulée qui vacille
Après tout
On s'en moque/moc,moc,moc...


ça ira les coureurs
Ah! ça ira pour toujours
Allons coureurs déclamer nos serments
Interdits

ça ira les coureurs
On oubliera les détours 
Sur tous les stades  j'écrirai je le jure abstinence chérie

J'ai rêvé nos corps qui vont vites
Caressé l'esprit de nos idéaux
J'ai posé ma foulée  ici bas
Savourer l'essence de mes moindres pas

Malgré tous
ma course est fragile
Près de nous
Le plaisir en péril
Après tout
On s'en moque/moc,moc,moc...


ça ira les coureurs
Ah! ça ira pour toujours
Allons coureurs respecter nos serments
Interdits

Deux manières différentes de se préparer au départ  :

les pieds en avant ou les mains dans les poches

chacun choisit

Un peu moins nombreux ce soir nos marcheurs montrent toujours autant de courage

Nos trotteurs eux trottinent

On attend la soupe vive la soupe

 

Ils ont laissés  leurs verres
Leurs champs de peines
Et leurs bistrots « sacrés »
Traversés les sevrages

pour éviter leurs naufrages
Sans un mot , sans un cri
Ils ont fermé leurs visages de miel
Les yeux mouillés de pluie
Les mains tendues vers le ciel

Un peu plus près du maillot
sur l’anneau  de lumière et d'argent
Pour oublier les ivresses brûlantes
Un peu plus près du bonheur
A l'abri des colères du vent
A peine un peu moins peur qu'avant

Au pied des murs de l’anneau
Ils ont brûlé leurs p’tits muscles de papier
enfermés leurs douleurs
dans leurs chaussures  d'acier
Eux qui voulaient courir
En regardant grandir leurs foulées
A l'ombre du sourire
Du grand coach  de marbre blanc

Un peu plus près du maillot
sur l’anneau  de lumière et d'argent
Pour oublier les ivresses brûlantes
Un peu plus près du bonheur
A l'abri des colères du vent
A peine un peu moins peur qu'avant

Ils courent  à demi-pas
A mi-chemin entre la vie et la mort
Et dans leurs yeux mi-clos
Du soleil, du soleil brille encore
Un rêve d’espérance
Une bouteille vide a coulé dans  la mer
Un vent de liberté
  Si loin, si prés  va  les emporter

Un peu plus près du maillot
sur l’anneau  de lumière et d'argent
Pour oublier les ivresses brûlantes
Un peu plus près du bonheur
A l'abri des colères du vent
A peine un peu moins peur qu'avant

samedi 19 octobre 2013

Nous on est des coureurs.

Nous on est des joggeurs.

Et on va même apprendre la vie aux vieux sportifs.

 

Pleure pas.

Non, ne pleure pas non.

On dirait que la peur s'est emparée de toi.

Pleure pas.

Non, regarde plutôt ça.

J'ai du vert, un maillot une équipe aussi.

 

Non ne t'en fais pas.

Attends que ta foulée vienne.

Et viens avec moi.

T’entrainer sous la lune pleine.

Non te t'en fais pas.

Ya pas de croque-mitaine.

Et viens avec moi.

Pour que l'on devienne.

 

 

 

Les coureurs, les joggeurs du samedi.

Avec une armée de bonheur.

On va bombarder vos peurs.

Les coureurs, les joggeurs du samedi.

Les foulées remplies de bonne humeur.

On court jusqu'à pas d'heure.

 

Pleure pas.

Non, ne pleure pas non.

C'est juste la vie qui te prend dans ses bras.

Pleure pas.

Non, écoute plutôt ça.

j'ai gardé au chaud deux trois courses pour toi.

 

Non ne t'en fais pas.

Attends que ta foulée vienne.

Et viens avec moi.

T’entrainer sous la lune pleine.

Non te t'en fais pas.

 

 t’as peur qu’ la bouteille revienne.

Appelle moi.

On ira lui coller des beignes.

 

Les coureurs, les joggeurs du samedi.

Avec une armée de bonheur.

On va bombarder nos peurs.

Les coureurs, les joggeurs du samedi.

Les foulées remplies de bonne humeur.

On court jusqu'à pas d'heure

.

 

Allez viens surfer le grand fractionné.

Et regarde en bas.

ici on court que l'essentiel.

sur les chemins on trottera en faisant des étincelles.

Et au petit matin.

je t'allumerai le ciel.

 

Les coureurs, les joggeurs du samedi.

Avec une armée de bonheur.

On va bombarder nos peurs.

Les coureurs, les joggeurs du samedi.

Les foulées remplies de bonne humeur.

On court jusqu'à pas d'heure

 

Nous on est des coureurs !

Nous on est des coureurs !

Nous on est des joggeurs !

On est des joggeurs !

Que ce soit dan, nadia, kamel, loic ou Maria.

Ils ont gardé dans leurs dos des ailes.

Ce sont les coureurs les joggeurs du samedi.

Que ce soit olivier, Laurence, suzanna and co*.

Ils ont tous dans le dos des ailes.

*PS and co c'est pour le rythme de la chanson en fait il s'agit de yannick samuel patricia isabelle et nathalie